L’enquête SAPRIS (Santé, perception, pratiques, relations et inégalités sociales pendant la crise COVID-19) a été réalisée auprès d’adultes participants aux cohortes Constances, E3N-E4N et Nutrinet et d’un sous-échantillon d’enfants nés en 2011. Ces derniers ont été sélectionnés parmi les participants des cohortes Elfe (Étude longitudinale française depuis l’enfance de l’Ined et l’Inserm) et Epipage2 (Étude épidémiologique sur les petits âges gestationnels, de l’Inserm). Le questionnaire a été adressé par internet à 16 385 parents vivant en France métropolitaine, entre le 16 avril et le 4 mai 2020. Il portait sur la santé en lien avec le Coronavirus, les caractéristiques socioéconomiques du ménage, les activités de l’enfant, les relations intrafamiliales pendant le confinement, et leurs conséquences sur sa qualité de vie. Près de 5 000 questionnaires ont été exploités. 

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Selon l’étude : “C’est dans les milieux modestes que le temps consacré au travail scolaire par l’enfant et par la personne qui l’aide a été le plus important, signe du volontarisme des parents concernés et sans doute aussi de leurs difficultés pour mettre en œuvre « l’école à la maison ».” 

 

Source: THIERRY Xavier, GEAY Bertrand, PAILHé Ariane et al., « Les enfants à l’épreuve du premier confinement », Population & Sociétés, 2021/1 (N° 585), p. 1-4. DOI : 10.3917/popsoc.585.0001. URL : https://www.cairn.info/revue-population-et-societes-2021-1-page-1.htm  

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